Merci d’avoir posé cette importante question. La plupart du temps, le Suivi et Evaluation est considéré comme une fonction de redevabilitè des donateurs et les organismes de mise en œuvre suivent également la même approche. Dans ce cas, la participation des agriculteurs n’est pas considérée comme une condition préalable, mais parfois considérée comme si les agriculteurs ne posedent pas de «connaissances» sur ces questions techniques et seules les personnes techniques peuvent fournir ce service au nom des bénéficiaires (puisque les personnes techniques comprennent également le contexte local / agriculteurs contexte et les besoins).
Le Suivi et Evaluation participatif a émergé pour rectifier ce défi où les agriculteurs seraient impliqués dans toutes les étapes du S&E - de la planification à l’évaluation finale. Il y a cependant des expériences mélangeèes dans les situations réelles. J’ai remarqué trois types de processus de S&E tout en travaillant pour diverses organisations de développement. Dans le premier groupe, le processus du Suivi et Evaluation participatif respecte dûment sa prémisse de base du principe participatif et implique les agriculteurs dans tout ou dans la majeure partie du cycle du projet (engagement profond). Dans le second, le projet utilise une approche plus opportuniste. Les agriculteurs sont invités juste avant ou après le lancement du projet (la plupart du temps au cours de la phase de création du projet) et la stratégie/plan de S&E est partagèe vec eux et les agriculteurs sont censés être impliqués dans le processus de S&E. D’après mon expérience, c’est l’approche la plus courante appliquée dans les projets agricoles dans la gestion du S&E (engagement de niveau moyen). Dans la troisième catégorie, les technocrates préparent le S&E et le partagent avec les agriculteurs pour leur faire part de leurs commentaires sur leur stratégie / plan de S&E déjà préparé (faible engagement).
Il existe de nombreux outils/méthodes participatifs de S&E qui dépendent du contexte et des questions techniques. Par exemple, pour la planification du projet, la « cartographie sociale et des ressources » serait très utile alors que pour un projet sur les marchés agricoles, le « Diagramme de Venn » pourrait fournir une bonne compréhension. De même, pour l’analyse des projets de sécurité alimentaire, le « calendrier saisonnier » fournirait des renseignements très utiles. J’ai également utilisé la « carte de pointage communautaire » pour évaluer le rendement (efficacité et efficacité) du projet. Il existe de nombreux outils disponibles, mais il est essentiel de comprendre le principe de base du processus participatif et il faut avoir une relation forte avec les agriculteurs pour utiliser les outils.
RE: The farmer as a key participant of M&E: lessons and experiences from Participatory M&E systems
Chère Emma,
Merci d’avoir posé cette importante question. La plupart du temps, le Suivi et Evaluation est considéré comme une fonction de redevabilitè des donateurs et les organismes de mise en œuvre suivent également la même approche. Dans ce cas, la participation des agriculteurs n’est pas considérée comme une condition préalable, mais parfois considérée comme si les agriculteurs ne posedent pas de «connaissances» sur ces questions techniques et seules les personnes techniques peuvent fournir ce service au nom des bénéficiaires (puisque les personnes techniques comprennent également le contexte local / agriculteurs contexte et les besoins).
Le Suivi et Evaluation participatif a émergé pour rectifier ce défi où les agriculteurs seraient impliqués dans toutes les étapes du S&E - de la planification à l’évaluation finale. Il y a cependant des expériences mélangeèes dans les situations réelles. J’ai remarqué trois types de processus de S&E tout en travaillant pour diverses organisations de développement. Dans le premier groupe, le processus du Suivi et Evaluation participatif respecte dûment sa prémisse de base du principe participatif et implique les agriculteurs dans tout ou dans la majeure partie du cycle du projet (engagement profond). Dans le second, le projet utilise une approche plus opportuniste. Les agriculteurs sont invités juste avant ou après le lancement du projet (la plupart du temps au cours de la phase de création du projet) et la stratégie/plan de S&E est partagèe vec eux et les agriculteurs sont censés être impliqués dans le processus de S&E. D’après mon expérience, c’est l’approche la plus courante appliquée dans les projets agricoles dans la gestion du S&E (engagement de niveau moyen). Dans la troisième catégorie, les technocrates préparent le S&E et le partagent avec les agriculteurs pour leur faire part de leurs commentaires sur leur stratégie / plan de S&E déjà préparé (faible engagement).
Il existe de nombreux outils/méthodes participatifs de S&E qui dépendent du contexte et des questions techniques. Par exemple, pour la planification du projet, la « cartographie sociale et des ressources » serait très utile alors que pour un projet sur les marchés agricoles, le « Diagramme de Venn » pourrait fournir une bonne compréhension. De même, pour l’analyse des projets de sécurité alimentaire, le « calendrier saisonnier » fournirait des renseignements très utiles. J’ai également utilisé la « carte de pointage communautaire » pour évaluer le rendement (efficacité et efficacité) du projet. Il existe de nombreux outils disponibles, mais il est essentiel de comprendre le principe de base du processus participatif et il faut avoir une relation forte avec les agriculteurs pour utiliser les outils.
Cordialement,
Ram Chandra Khanal