C'est un outil très bien conçu qui garantira l'uniformité de la méthodologie dans les programmes de recherche du CGIAR au fur et à mesure que le système avance vers l'actualisation du CGIAR unique.
Mon inquiétude est que même si la qualité de la science est jugée bonne, que se passera-t-il ensuite ? Comment cela se traduit-il dans l'essence même de la naissance du CGIAR : augmentation de la production alimentaire au niveau des petits exploitants, amélioration de la nutrition, de la santé et des moyens de subsistance au niveau des ménages. Les bénéficiaires ultimes du CGIAR sont les petits exploitants agricoles et les systèmes nationaux. Ces derniers sont très éloignés (accès, fonds, structures faibles, etc.) des revues qui comptent.
C'est pourquoi, à mon avis, cet outil doit être combiné à un processus d'étude de cas sur les résultats et l'impact qui profite à la science au sein du CGIAR, d'une part, et à son effet sur les petits exploitants, les systèmes nationaux et la société dans son ensemble, d'autre part.
Nous devons définir/élaborer la qualité de la science/qualité de la recherche de manière à saisir la raison du besoin de la science en premier lieu et son effet/résultat sur la société en général. La composante "suivi, évaluation et apprentissage" (MEL) devrait être renforcée pour aborder ces questions plus larges et garantir que, lorsque nous évaluons la science, nous ne perdons pas de vue son objectif ultime.
Ola Ogunyinka
Senior Research Fellow Natural Resources Institute, University of GreenwichC'est un outil très bien conçu qui garantira l'uniformité de la méthodologie dans les programmes de recherche du CGIAR au fur et à mesure que le système avance vers l'actualisation du CGIAR unique.
Mon inquiétude est que même si la qualité de la science est jugée bonne, que se passera-t-il ensuite ? Comment cela se traduit-il dans l'essence même de la naissance du CGIAR : augmentation de la production alimentaire au niveau des petits exploitants, amélioration de la nutrition, de la santé et des moyens de subsistance au niveau des ménages. Les bénéficiaires ultimes du CGIAR sont les petits exploitants agricoles et les systèmes nationaux. Ces derniers sont très éloignés (accès, fonds, structures faibles, etc.) des revues qui comptent.
C'est pourquoi, à mon avis, cet outil doit être combiné à un processus d'étude de cas sur les résultats et l'impact qui profite à la science au sein du CGIAR, d'une part, et à son effet sur les petits exploitants, les systèmes nationaux et la société dans son ensemble, d'autre part.
Nous devons définir/élaborer la qualité de la science/qualité de la recherche de manière à saisir la raison du besoin de la science en premier lieu et son effet/résultat sur la société en général. La composante "suivi, évaluation et apprentissage" (MEL) devrait être renforcée pour aborder ces questions plus larges et garantir que, lorsque nous évaluons la science, nous ne perdons pas de vue son objectif ultime.