Merci pour les contributions des uns et des autres qui sont édifiantes à plus d'un titre. En effet, au delà de tous les aspects techniques, se trouve un enjeu majeur qu'est la participation des parties prenantes. Une évaluation n'a d'intérêt que si elle a une finalité formative. C'est pourquoi il est nécessaire de s'assurer de l'implication des parties prenantes dans le processus d'évaluation.
Prenons le cas de l'évaluation d'un projet de solidarité internationale mis en oeuvre par des organisations de la société civile (OSC) sur la base de subventions versées par appels à projets.
Un comité d'évaluation comprenant des gestionnaires du programme, les OSC, ainsi que les bénéficiaires a été mis en place. Le mandat d'évaluation y est expliqué. Ainsi, ce comité a suivi le processus jusqu'à la fin. La logique du programme a été mieux étayée, des données fiables ont été collectées. Au finish, les résultats de l'évaluation sont acceptés par tous, car reflètant la réalité sur la base de la rigueur méthodologique de l'évaluation.
Les gestionnaires se sont engagés à mettre en oeuvre les recommandations pour améliorer les processus de mise en oeuvre du programme.
En rappel, nous sommes dans un contexte d'apprentissage où l'on ne doit pas se méfier de la fonction d'évaluation, car au delà d'être une fonction de contrôle est également un outil pédagogique pour s'améliorer.
En définitive, s'il y'a une chose à retenir de l'évaluation des programmes, c'est qu'elle vient renforcer les saines pratiques de gestion dans un contexte de gestion par résultats. C'est dans cette optique que toutes les parties prenantes devraient s'inscrire.
Ollo LYOD
Merci pour les contributions des uns et des autres qui sont édifiantes à plus d'un titre. En effet, au delà de tous les aspects techniques, se trouve un enjeu majeur qu'est la participation des parties prenantes. Une évaluation n'a d'intérêt que si elle a une finalité formative. C'est pourquoi il est nécessaire de s'assurer de l'implication des parties prenantes dans le processus d'évaluation.
Prenons le cas de l'évaluation d'un projet de solidarité internationale mis en oeuvre par des organisations de la société civile (OSC) sur la base de subventions versées par appels à projets.
Un comité d'évaluation comprenant des gestionnaires du programme, les OSC, ainsi que les bénéficiaires a été mis en place. Le mandat d'évaluation y est expliqué. Ainsi, ce comité a suivi le processus jusqu'à la fin. La logique du programme a été mieux étayée, des données fiables ont été collectées. Au finish, les résultats de l'évaluation sont acceptés par tous, car reflètant la réalité sur la base de la rigueur méthodologique de l'évaluation.
Les gestionnaires se sont engagés à mettre en oeuvre les recommandations pour améliorer les processus de mise en oeuvre du programme.
En rappel, nous sommes dans un contexte d'apprentissage où l'on ne doit pas se méfier de la fonction d'évaluation, car au delà d'être une fonction de contrôle est également un outil pédagogique pour s'améliorer.
En définitive, s'il y'a une chose à retenir de l'évaluation des programmes, c'est qu'elle vient renforcer les saines pratiques de gestion dans un contexte de gestion par résultats. C'est dans cette optique que toutes les parties prenantes devraient s'inscrire.
Cordialement
Christian.